Pouvoir bénéficier de l’eau chaude est un confort que les résidences individuelles ne peuvent se détourner. Et même les résidents en copropriété peuvent actuellement en disposer grâce à l’évolution des mécanismes de la plomberie. Si l’utilisation ne consiste qu’à tourner des robinets, l’installation en est tout autrement. Cette opération peut toutefois ne nécessiter aucune intervention d’un plombier professionnel si l’on suit les instructions suivantes.
1. Disposer des outils nécessaires
Avant de pouvoir commencer l’installation, un bon travailleur se doit de disposer les outils nécessaires pour la réalisation de la tâche. Outre les outils de sécurité et les anodes, d’autres accessoires plus spécifiques peuvent être requis pour une installation correcte d’un ballon d’eau chaude. Quand on n’a aucune notion en la matière, il est préférable de demander conseil à un plombier a Lille. Vous pourriez ainsi bénéficier de ses précieux conseils et de ses années d’expérience.
2. Identifier l’emplacement idéal
Le problème de l’emplacement est vite résolu lorsqu’il s’agit de remplacement d’un ancien chauffe-eau. De plus, si le nouveau matériel est un chauffe-eau électrique, la pose est grandement facilitée par le kit de raccordement rapide déjà livré avec. Elle ne nécessite ni colle ni soudure, mais demande l’utilisation d’un rouleau de Téflon, d’une pochette de joints et de deux rondelles larges au moment de l’installation.
Pour le premier chauffe-eau d’un logement, l’idéal est de le placer au plus près des zones où l’eau chaude est indispensable. Cette technique permet de limiter les pertes de la chaleur sur des tuyaux longs, et de limiter des dépenses en eau froide. Une fois l’endroit stratégique trouvé, le plus dur reste à faire.
3. Choix du mode de support
Le choix du bon type de fixation est la principale difficulté pour poser un chauffe-eau. Il dépend de la solidité du mur et de la contenance du ballon d’eau chaude. En général, l’accrochage mural sans renfort en sous-face n’est pas envisageable sur une cloison légère en plaques de plâtre. Cette action peut s’avérer risquée, même pour un chauffe-eau de faible contenance (de 20 à 30 litres). Pour une plus grande quantité, le trépied est incontournable.
En ce qui concerne les murs maçonnés, elles sont certes résistantes, mais réclament d’autres solutions de fixation. Selon la nature du mur (moellon, brique pleine, parpaing…), d’autres outils plus adaptés comme les goujons de grande longueur, un scellement chimique, ou encore des chevilles métalliques à expansion.
4. Bien suivre les indications de montage
Chaque ballon d’eau est livré avec une notice d’installation du matériel. En suivant les indications à la lettre, il ne peut y avoir de grand problème. Tout y a bien été expliqué et détaillé dans un français simple et clair, ou en anglais (selon la provenance de l’article). Les actions à faire tournent autour de visser et de raccorder pour que le dispositif se fonde dans la plomberie existante du logement.
5. Vérifier la qualité du travail fait
La qualité du travail peut en partie se voir à première vue. L’ensemble est bien posé, de manière esthétique et soignée. Toutefois, si le chauffage installé répond à la norme mise en vigueur dans l’économie d’énergie, l’intervention d’un plombier professionnel est inévitable. Lui seul peut certifier le respect des règlements lors de l’installation et de l’existence même de l’équipement. Ce n’est que par la suite que le propriétaire peut prétendre à un crédit d’impôt.