Comment procéder à un coliving serein à Luxembourg ?

Le coliving est un nouveau concept venu des États-Unis qui apporte une fraîche innovation dans le secteur de l’immobilier. Encore méconnu du grand public, ce concept séduit par son principe, son accessibilité et la qualité de vie qu’il procure.

Cette nouvelle manière de vivre ensemble peut être catégorisée comme une combinaison de la colocation, l’hôtellerie est le coworking. Actuellement, elle se répand à travers le monde entier, notamment dans les grandes villes. Pour plus de détails, zoom sur le coliving à Luxembourg.

Les avantages du Coliving à Luxembourg

Le coliving peut se traduire par le partage d’un espace de vie et des services. En général, le logement adapté à un coliving se trouve être comme suit. Tout d’abord, il y a l’appartement indépendant. Il peut être un studio de deux ou de trois pièces, munis de toutes les commodités nécessaires (salle d’eau, cuisine…).

Ensuite, il y a les parties communes accessibles par tous les résidents. Le salon, la salle à manger, ou les espaces de travail en sont des exemples. Et pour finir, mais non des moindres, les espaces destinés à des services divers comme une salle de gym communautaire.

Dans cette optique, l’interaction sociale est inévitable que les résidents doivent convenir à des règlements pour un coliving Luxembourg serein. Déjà qu’aucune loi concernant cette pratique n’a été mise en vigueur jusqu’à présent. Le coliving a pour objectif de permettre à des personnes non -étudiants et avec aucun lien de parenté, de vivre en communauté en se partageant les bénéfices.

Plusieurs services divers sont mis à dispositions de tout locataire. Connexion internet ultrarapide, accès à un service streaming, ou même le ménage. C’est cette partie que la nouvelle tendance a empruntée aux complexes hôteliers.

Élaboration d’une charte de copropriété

Le coliving a des limites qui semblent être encore insurmontables à l’heure actuelle. Pour que tous les résidents puissent vivre en harmonie, ils doivent avoir plusieurs points communs, et partagent la même vision de vie. Il ne faut pas oublier que ce concept est un marché avant d’être une solution d’hébergement.

Selon les études menées, les populations qui se résolvent à passer par cette voie ne diffèrent que de l’activité professionnelle, ou de pays. Le loyer dans ce type de logement étant au-dessus de la moyenne, on peut conclure que le fait d’être de même classe sociale et économique participe à une cohabitation paisible. À l’instar de la colocation, cette pratique a également besoin d’un contrat stipulant clairement les accords passés entre tous les résidents.

Il est important de définir à l’avance les zones accessibles ou non aux autres occupants du logement, ainsi que la part de responsabilité de chacun vis-à-vis des salles communes. Un planning doit-être préalablement établi et respecté pour ne pas faire naître des discordes. Le respect mutuel est également une clé d’une cohabitation réussie dans ce type de maison.

Même si les gens vivant dans l’habitat possèdent plusieurs points communs, les petites différences peuvent vite être source de malentendu ou de mécontentement. Chacun est libre de se sentir chez lui, tout en respectant la liberté des autres. Un accord tacite ou verbal ne peut suffire, d’où la nécessité de légaliser une charte de copropriété.